AeriesGuard Le Refuge des Créateurs Minecraftiens !

Chapitre1
 
 
 
 Personnes ne les connaissais mieux que nous. De la poupe a la proue, nous en savions bien plus que pouvais le prétendre leurs capitaines. A l’ombre de leurs Coques, hors de vues des adultes dit responsables, nous nous vaquâmes à la Tache du matin au soir. Les passagers et marin qui occupais les ’titans Spatiaux’ ne ce doutais de rien.
 
 Je m’appel Josh Eagles, voila huit ans que j’ais étés récupéré par LePère, et depuis je suis Mécano-Mineur dans le spatiaux-Pores de la viles d’Andreas. Je ne puis raconter plus de chose sur moi cars ma vie, hors de mes activités sociales, ce limite qu’au travail qui est le mien.
 

La réparation d’un Vaisseau-Spatial, quel qu’an soit le genre, ce déroule en trois phases, Chaque phase est opéré par un groupe différents de mécanos ; la première phase consiste à repairer la source de la pane, la seconde à la réparer, et la dernière à vérifier que tout les autres systèmes soit opérationnels. Gary et moi sommes responsables de la dernière phase. Elle a beau être la plus faciles, elle est surtout la plus lente, et nous devons chacun compter l’un sur l’autre pour être sur de finir dans les temps.

Gary est un bon compagnon, il m’a déjà sauvé la vie deux fois. Une foi lors de la réparation d’un vaisseau de guerre, il ma poussé hors des champs de compresse et ma évité d’être écrasé par le générateur de gravité, l’autre foi, lors d’une courses de Speeders. Il a été vendu par ces parents à l’âge de 5 ans, puis LePère le racheta aux vendeurs d’esclaves. Depuis, il travail avec moi.
 
 Nous sommes une cinquantaine, ceux qui ne son pas mécano sont informaticien, ou fonts dans la métallurgie. Il n’y a pas de réels grades dans le groupe, il y a les mineurs, les majeurs et LePère. C’est un peu luis qui s’occupe de toute l’organisation, il est le maitre incontesté du groupe. On luit dois tousses la vie, et il ne manque jamais de nous le rappeler. S’il a un nom ? Je n’en ais jamais entendu parler, tout le monde l’appel LePére. Une rumeur prétend qu’il aurait un Frère qui serait capitaine sur un navire corsaire, mais la rumeur n’est pas fondée.

Andreas n’est pas une ville a proprement parlé, il s’agit enfaite des cartiers industriels de la mégapole d’Ashen. Chaque vendredi soir, nous organisons une cours d’A.S.A. (Aero Speeder Antigravitationnel) dans les centres désinfectés. J’jusqu’a maintenant seulement trois foi finaliste avec 5 courses remportés, je n’étais plus qu’a deux courses de remporter le championnat.

Il ce faisais tard, et déjà, les spectateurs envahissais les ruelles sombres et les dernier coureurs finissais de ce préparer. Gary avais l’air excité, comme a chaque course.

- Alors, sa fonctionne ? me demanda-t-il le regard rivé sur sa tablette com.

Les voyants des propulseurs de dérivations s’allumèrent.
 - Propulseurs secondaires OK, luis répondis-je.
 Notre A.S.A. était prêt.

 La course allait s’étaler sur une centaine de kilomètre, elle avait été dégagée au maximum mais le danger était toujours plus que présents, elle ne comportait pas de réel virage, mais les propulseur de dérivation allais être beaucoup sollicités dans les slalomes.
 Les cinq coureurs allais ce gêner, et ce dépasser seras dangereux, la meilleur solution dans ces cas est de prendre la tête dé le début. Hamed, l’Un des gars en métallurgie vain sur la ligne de départ muni d’un micro.

- Aujourd’hui est un grand jour mesdames, demoiselles, messieurs ! Nous accueillons nos cinq grands coureurs du tournoi ! Je vous rappel que les deux vainqueur serons qualifié pour la grande finale d’Andreas !

Une acclamation d’euphorie retentie de la foule.

- Nous avons devant nous cinq champions qui on tous parcourus les échelons avec une facilité fracassante ! Je vous présente Dog Pitsher, le mineur des mines d’Ambasculo, jusqu’à présent 5 fois finaliste ! Il a mis cette année toute les chances de son cotés en ce procurent le dernier prototype Antharien d’A.S.A !

Le dénommé Dog Pitsher ce leva de son siège sous les acclamations de la foule.

- Et voici Franc Dulga, il nous vient tout juste de la planète d’Ushi, et bien qu’il s’agisse de son premier tournoi, Franc et aujourd’hui demis finaliste et à, a mon avis, toutes ces chance de réussir luis aussi !

Nouvelle acclamation de la foule.

- Trois fois finaliste, il a gravit les échelons comme les autre avec brillance, et ces relever plus fort de toutes ces difficulté. Je vous présente Josh Eagles ! on peut dir qu’il a le talent pour gagner !

A mon tour je saluai la foule en extase.

- Et vous vous en doutez, bien sur, Il n’y as pas de Demi-finales sans Qu’il ne vienne l’affronter. Il est son adversaire le plus coriace et son seul obstacle pour la finale, une foi de plus ! Voici Loïc Vésoga ! Luis on peut dire que ces un battent !

Loïc m’avais battu aux dernières finale.
 Encore une foi la foule rugit, mais elle s’arrêta surprise par un nouvel arrivant. Il avait le look des gosses des cartiers riches, et étais au commandes d’un A.S.A hors de prix.
 - Luis aussi vient d’arriver, annonça Hamed, et croyez moi, j’ais vu ce qu’il avait dans le ventre et je peux vous dire qu’il en a des tripes !
 La foule Acclama le nouveau venue, qui a son tours les salua. Parmi les autre coureur je senti la tentions monter, elle était quasi palpable, et je les comprenais. Pour qui ce prenait-il ce fils de riche, pour grillais les étapes. Il était facile de deviner que les organisateurs avais étaient corrompu. Mais la foule ne ce doutais de rien, elle était déjà a prendre le partie du nouveau venu. Je n’avais pas besoin d’être devin pour savoir ce qui allais ce passer : les coureurs allais ce liguer contre luis, et sa allais créer une foutu pagaille. On ne connaissait même pas sont nom.
 
 Les coureur firent rugir leurs moteurs, Hamed posa le micro et sorti une balle de sa poche. Il la pausa sur la paume de sa main et tandis son bras. Dans les tribunes les écrans holographiques s’allumaient, mais touts les yeux étaient rivés sur la balle de Hamed, celui ci retourna la paume de sa main vers le bas, la chute de la balle sembla ce prolonger éternellement, puis une foi que celle-ci toucha le sol les A.S.A. partirent dans un grandement infernale. Le top départ avais été prononcé.
 

 Mon conteur affichais plus de sept cent kilomètre par heur et je ne m’étais placé qu’avant dernier, mais par chance je connaissais bien ce terrain pour y avoir déjà fait quelque courses.
 Il y avait, a sept embouchures de la, une bifurcation a gauche qui menais a une ruelle parallèle. Bien qu’il ne s’agisse pas d’un réel raccourci, la voie était plus dégagée et je pourrais pousser un peu plus mes moteurs sans avoir besoin de trop slalomer. Plus que six carrefours avant la bifurcation. Il faudrait tourner séré, et si je serrais trop mon tournant je risquais de partir en vrille. Plus que cinq. J’espérais que la route n’aille pas eu de nouveau décombre qui la bouche, c’étais arrivé a un amis une foi, aujourd’hui il ce vente d’avoir frôlé la mort. Plus que quatre. Dog Pitsher, qui étais derrière moi, commençais à ce rapprocher dangereusement, si il restait a cette distance, je risquais de nous mètre en danger tout les deux. Plus que trois. Il n’y avait pas moyen de le laisser passer, ni de prendre de l’avant, l’on commençait a nous entre choquer. Plus que deux. J’avais beau réfléchir je ne trouvais aucune solution, mes main ce crispai sur le volant, je n’étais pas sur de ce que je devais faire, louper ce virage me ferais perdre la cours sans aucun doute. Maintenant je devrais tourner au prochain carrefour. Il fallait que je prenne ce tournant, si je voulais avoir une chance de finir premier, si je voulais avoir une chance de remporter ce championnat, il falais que je tourne…Maintenant !
 
 Je ne compris pas ce qui ce passait, mon A.S.A. commença a ce soulever et parti en tonneaux, je me suis mit à crier tout ce que je pouvais dans un dernier élan de panic. Puis le temps s’arrêta. Les morceaux de verre volais dans l’air au ralenti, je voyais par mon pare-brise Dog Pitsher qui luis aussi la panique dans les yeux avait perdu le contrôle. Il me fonçait dessus sans pouvoir rien faire. Je remarquai alors que mes mouvements n’était pas diminué, je sortis précipitamment de mon A.S.A, le temps repris son cour normal et un débris me heurta.

Je ne me souviens pas de la suite.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Chapitre 2

 

 

 

Je me suis déjà retrouvé a l’hôpital quelques fois, et je me suis toujours demandé pourquoi toute y était blanc. Je mis sentais bien. A mon réveil, Stuart (l’un des mécanos qui avais travaillé avec moi) ce tenait devants moi tout sourire.

- Salut Josh.

- Salut… qu’est-ce qui c’est passé ?

- Tu as essayé de tourner à 800 km/h, j’ais cru un instant que tu y arriverais, mais ton A.S.A est parti en Tonneau. Tu as de la chance d’être encor entier. Garry par contre … Il a eu des embrouilles avec les mécanos de Dog Pitsher, sa a fini en baston générale et il c’est cassé le bras.

Sa ne m’étonnais pas de luis, il avait le chique pour ce fourrer dans des embrouilles pas possible, mais jusqu'à présent il s’en était sorti indemne. Et son repos obligatoire me posait pas-males de problèmes. Je ne pouvais finir la maintenance des vaisseaux seuls.

 LePère étais de très mauvaise humeur, et tout le monde la subissais. Il devait avoir eu vent de la cours de rue et tenais tout le monde pour responsables. Je n’avais pas le chois, je devais lui demander un remplacent…et je connaissais déjà la réponse.
 - Non, y’as personne, Ils sont tousses pris aujourd’hui. Sa vous apprendra à faire ces stupides courses de rues !
 Rien à faire, j’étais dans la merde. J’avais juste à prier que le vaisseau serait petit, on peut toujours rêver.

 Il ce nommais « Le Schaklar », un croiseur, Loing d’être des plus petit et les travaux de maintenance étaient loin d’êtres minces. Je fis par, a l’organisateur du groupe, du fait que je serais en retard pour qu’il prévienne les occupent du Croiseur puis je me m’y a la tache. Hormis sa vieillesse apparente, La bête qu’était « Le Schaklar » était une merveille. Il avait subit des modifications qui était toutes, a mon gout, Géniales. Certaines aidait a la maniabilité du vaisseau, d’autres luis assurais une plus grande vitesse. Mais qui pouvais avoir besoin de telles modifications ? Je m’aventurai un peut plus profondément dans la coque. Il devait me rester environ deux heur avants que l’alarme de dépars sonnes, si les occupants étais a l’heur.

Je me dis que le travail ne devait pas être si grand, si les mécanos du navire s’occupaient aussi régulièrement de la maintenance que laissais supposer l’état des systèmes internes. Hélasse ce n’était pas le cas, certains système sécuritaires et hygiénique était en piteuses états, d’autre ne marchais même plus. Mais rien de grave, je devais finir dans l’heur sans problème.

Alors que je rafistolais un conduit d’aération, une secousse me fit tomber et les alarme retentirent. Il s’agissait d’une alerte de code5, tout le personnel du pond devais rejoindre au plus vite leurs poste de combat respectif. Après avoir rangé précipitamment mes outils, je me dépêchai de rejoindre la sortie de conduit de maintenance. Une seconde secousse, plus grande que la précédente, me rejetas au sole. Tout ce si n’étais pas normale, d’où venais ces secousses ? Je repris ma course vers la sortie. Devant moi la porte commençais a ce refermer, le tunnel étais trop étroit pour bien courir, et mes genoux subissais de la position que je devais prendre pour me dépêcher. A chaque pas que je faisais vers la sortie, je me rendais un peut plus conte du danger qu’il y avait à sauter avants la fermeture de la porte. Je me souvenais encore d’un ancien ami qui avait tenté de passer l’une de ces portes à leur fermeture, le spectacle n’était pas beau à voir. C’est avec les images de ce drame en tête que je m’arrêtai net. Pourquoi risquer ma vie si je pouvais demander au capitaine du navire spatiale de me faire descendre ? Une troisième secousse faillit me faire perdre l’équilibre et je senti le vaisseau décoller du patiaux-port. Je franchis les dernier mètre qu’il me restait pour accéder a la porte a présent fermé et jetas un coup d’œil au hublot. C’étais le chaos sur les quais, les gens courais ce cacher, je pouvais même voir des mort surpris par ce qu’il ce passais. Mais que ce passait-il au juste ? D’où venais ce chaos ? La ville était-elle attaquée ?
 Quoi que cela fût, le vaisseau dans lequel j’étais embarqué fuyait l’agitation du spatial port.